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 Sujet du message : IThink so IJobs
Message Publié : 04 Août 2011, 22:48 
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Inscription : 20 Août 2004, 06:59
Message(s) : 358
Localisation : Brie Comte Robert, ton univers impitoyable
Un article bien intéressant du magasine l' EXPRESS
http://lentreprise.lexpress.fr/innovation/les-secrets-de-l-innovation-selon-steve-jobs-d-apres-les-secrets-d-innovation-de-steve-jobs-7-principes-pour-penser-autrement-de-carmine-gallo_30502.html?p=2
Innovation et créativité

Bonnes feuilles
Les secrets de l'innovation selon Steve Jobs
Dans Les Secrets d'innovation de Steve Jobs : 7 principes pour penser autrement, paru aux éditions Pearson (1), Carmine Gallo décrypte la pensée créative du vénéré patron d'Apple. L'auteur s'était déjà illustré avec son best-seller Les Secrets de présentation de Steve Jobs.

L'Entreprise, publié le 29/07/2011

La pomme dont Apple tire son nom est littéralement tombée d'un arbre sous les yeux de Steve Jobs. Il y a vu le symbole de ce que doit être un ordinateur : simple et accessible. Lorsque, à 21 ans, il fonda son partenariat avec Steve Wozniak, il cherchait encore les lumières de la spiritualité à plus de 1 000 km du modeste domicile de ses parents à Los Altos, en Californie. Même s'il avait abandonné ses études à l'université de Reed, dans l'Oregon, il revenait régulièrement dans cet Etat pour échanger des idées avec les membres d'une communauté influencée par l'esprit zen. Il s'agissait de la All-One Farm, où on cultivait... la pomme. [...] Il est probable qu'on y méditait beaucoup, peut-être à l'aide de quelques "herbes". Après tout, c'était les années 1970 ! Quoi qu'il en soit, il est certain que cette expérience, loin de la Silicon Valley où tout tournait autour de la technologie, fut une étincelle de plus stimulant l'esprit créatif du jeune Steve. Lors d'un de ses séjours à la ferme, il eut une idée apparemment anodine. C'était une innovation avec un petit "i", mais les spécialistes de l'identification des marques pourraient en prendre de la graine.

Pour fonder leur société, Jobs et Wozniak avaient 1 000 dollars en poche, somme nécessaire pour construire des circuits imprimés prêts à l'emploi. Woz avait vendu sa chère calculatrice HP 65 pour 500 dollars. Pour quelques centaines de dollars de plus, Jobs s'était séparé de sa fourgonnette Volkswagen, à laquelle il tenait tout autant. Avec ce modeste pécule, leur "boîte" était montée. Il restait à la baptiser. "Je ramenais Steve de l'aéroport, se souvient Woz. Il rentrait de l'Oregon, où il disait avoir séjourné au milieu des pommiers. En fait, c'était une sorte de communauté. C'est alors qu'il a proposé un nom : Apple Computer. Nous avons cherché quelque chose qui sonne plus technique, mais nous n'avons rien trouvé de satisfaisant. Apple était tellement mieux que tout ce qui nous venait à l'esprit. Ce devait être Apple et ce fut donc Apple."
Créer, c'est savoir relier les choses entre elles

En quoi les innovateurs [comme Steve Jobs, ndlr] sont-ils différents ? [...] Des chercheurs de Harvard ont mené pendant six ans une enquête particulièrement approfondie sur ce sujet auprès de 3 000 dirigeants d'entreprise. Les conclusions de leur étude sont intéressantes, mais ils auraient pu gagner beaucoup de temps en se contentant d'interroger Steve Jobs. Selon ces spécialistes, la principale qualité des innovateurs est leur capacité d'"association" : mieux que quiconque, ils établissent un lien pertinent entre des idées, des questions ou des problèmes qui concernent des domaines différents. "Plus notre expérience et notre savoir sont diversifiés, plus notre cerveau est apte à créer des connexions. L'apport d'éléments nouveaux suscite de nouvelles associations, dont certaines engendrent des idées innovantes."

L'enquête de Harvard confirme ce que Jobs disait à un journaliste quinze ans plus tôt : "Créer, c'est relier des choses entre elles, c'est tout." Les chercheurs l'expriment ainsi : "Lorsqu'on demande à un sujet créatif comment il a fait telle chose, il se sent un peu coupable parce qu'il ne l'a pas vraiment faite. Il a juste perçu quelque chose, qui est devenu évident ensuite. Cela s'explique par le fait qu'il est capable d'établir un rapport entre différentes expériences et de les synthétiser en un résultat nouveau. Et s'il y parvient, c'est soit parce qu'il a vécu davantage d'expériences que d'autres personnes, soit parce qu'il y a réfléchi de manière plus approfondie. [...]"

Bien sûr, nous ne saurons jamais si les neurones et synapses de Jobs s'activent différemment de ceux d'un cerveau moyen. Mais les scientifiques s'accordent sur un point : si les idées fusent autant chez lui, c'est parce que "toute sa vie, il a exploré des choses nouvelles et sans rapport les unes avec les autres : l'art de la calligraphie, les méthodes de méditation dans un ashram en Inde, ou les remarquables finitions d'une Mercedes-Benz".
Robots ménagers, cuiseurs à riz et ordinateurs à aimants

Un robot ménager Cuisinart n'a pas grand-chose à voir avec un micro-ordinateur, mis à part que c'est un appareil destiné à faciliter le quotidien. Pour le reste, ces deux objets remplissent des fonctions complètement différentes. Mais quelqu'un qui a le mode de pensée d'un Steve Jobs trouve l'inspiration partout, même dans un grand magasin.

Si vous observez des photographies de l'Apple I et de l'Apple II, vous remarquerez que ces deux ordinateurs ne se ressemblaient pas du tout. L'Apple I comprenait une carte mère totalement assemblée, contenant une demi-douzaine de processeurs. Sa commercialisation débuta en juillet 1976, soit trois mois après la naissance du partenariat entre Jobs et Woz. Il était vendu en kit, principalement à des informaticiens amateurs qui ajoutaient des composants à la carte mère pour en faire un ordinateur à part entière. Ce produit aurait exaspéré le consommateur lambda, qui n'y aurait rien compris. Lancé un an après, l'Apple II fit connaître la société et marqua le début de l'incroyable parcours qui devait faire de Jobs une célébrité internationale. Il allait devenir le micro-ordinateur le plus populaire de son temps, car il était facile d'emploi avec son écran en couleurs, son clavier intégré, ses huit connecteurs d'extension et son original boîtier en plastique. L'histoire de ce boîtier est un exemple typique d'"association". En effet, Steve Jobs en trouva l'idée en dehors du domaine informatique. Tandis que Woz améliorait les circuits et la conception interne du futur Apple II, Jobs centrait ses recherches sur l'extérieur de l'ordinateur. Selon lui, son boîtier devait séduire les non-spécialistes, qui attendaient une machine prête à l'emploi. Il pensait que sans cela le produit n'aurait pas auprès du grand public assez d'attrait pour garantir son succès et celui de l'entreprise. Jobs l'imaginait installé dans la maison, ou même dans la cuisine, où toute la famille aurait plaisir à l'utiliser. Il trouvait que l'Apple II devait être beaucoup plus accessible et plus pratique que les autres ordinateurs. Et il fallait que cela se voie : l'Apple II devait ressembler davantage à un appareil électroménager qu'à un de ces tas de ferraille confinés au garage des mordus d'informatique.

"[...] Une idée me turlupinait : il lui fallait un boîtier en plastique", raconte Jobs. L'apparence extérieure de l'ordinateur avait bien été confiée à un designer industriel, Jerry Manock. Mais celui-ci suivait les instructions de Steve Jobs. Et Jobs cherchait son inspiration non pas dans les magasins d'électronique mais chez Macy's, la grande chaîne de magasins.

"Il la trouva au rayon cuisine, en observant les robots Cuisinart, écrit Leander Kahney. Il y avait là ce qu'il voulait donner à l'Apple II : un beau boîtier en plastique moulé, avec des angles arrondis, des couleurs douces et une surface légèrement texturée." Le boîtier en plastique moulé - une nouveauté en informatique - allait susciter l'engouement du public. Et il assura la fortune de Jobs et de Woz. Woz avait inventé l'Apple II, mais Jobs et sa créativité en avaient fait un appareil plébiscité par le grand public. [...]

"Les bons artistes copient, les grands artistes pillent." De tout ce qu'on cite de Steve Jobs, ces quelques mots sont parmi les plus mal interprétés. Pour ses détracteurs, cette phrase confirme qu'il est incapable d'idées originales. Mais elle est rarement reproduite en entier. En fait, elle évoque sa recherche d'inspiration ailleurs que dans le domaine informatique. Elle traduit ainsi son aptitude à relier des choses apparemment sans rapport entre elles. En réalité, Steve Jobs a prononcé les paroles suivantes : "Cela consiste à se mettre en contact avec ce que les êtres humains ont fait de mieux, puis à tenter de l'intégrer à ce que vous faites. Picasso a dit : "Les bons artistes copient, les grands artistes pillent. " Nous n'avons jamais eu honte de voler de grandes idées. Si le Macintosh a si bien réussi, c'est parce qu'il est l'oeuvre d'artistes, de zoologues et d'historiens qui se sont révélés d'excellents informaticiens." Reproduite dans son intégralité, cette citation démontre que Jobs parle moins du pillage que de l'importance de la notion d'association, lui dont le processus créatif se nourrit d'une diversité d'expériences.

Steve Jobs est si doué pour les associations qu'Apple innove encore aujourd'hui dans tous les aspects de l'informatique... y compris les cordons d'alimentation. Baptisé MagSafe, l'adaptateur avec lequel on branche un portable Apple sur le secteur se termine par un aimant, du côté de l'ordinateur. Nombre d'utilisateurs ont fait la mauvaise expérience - ou l'appréhendent - de se prendre les pieds dans le fil et de voir, impuissants, leur portable s'écraser au sol. En déconnectant facilement l'ordinateur et son cordon, le MagSafe évite ce terrible scénario. Apple a "volé" cette idée aux Japonais. Plus précisément, Apple a établi un lien entre deux objets en apparence étrangers, le cuiseur à riz et l'ordinateur.

Les cuiseurs à riz japonais sont équipés depuis longtemps d'une fixation magnétique, simple dispositif qui évite qu'on les renverse. [...] Lorsqu'en 2006, Apple dote ses MacBook d'un MagSafe, les utilisateurs déposent sur les forums des messages enthousiastes. Selon leurs témoignages, ce concept est l'un des plus pratiques et innovants depuis longtemps.

D'autres le dénigrent, considérant que l'idée n'a rien de nouveau et qu'il suffit d'aller au supermarché du coin pour trouver des friteuses et des cuiseurs à riz équipés du même système. La trouvaille n'est certes pas nouvelle. L'innovation est née d'une association d'idées qui n'est venue à l'esprit d'aucun concurrent d'Apple.
En quoi Steve Jobs "voit" les choses différemment

Typique iconoclaste, Steve Jobs mène une guerre sans merci contre les idées conventionnelles. Or, selon un spécialiste réputé des neurosciences, Gregory Berns, les iconoclastes et en particulier ceux qui réussissent sont "enclins aux expériences inédites". Dans son livre intitulé Iconoclast : A Neuroscientist Reveals How to Think Differently, trois phrases semblent décrire Jobs en personne : "Pour voir les choses différemment, la solution la plus efficace consiste à bombarder son cerveau de choses qu'il n'a encore jamais rencontrées. La nouveauté libère le processus perceptif de ces entraves que sont les expériences passées. Elle oblige le cerveau à former de nouveaux jugements."

Pour ce chercheur, on peut acquérir les qualités de l'iconoclaste si on comprend comment celui-ci, en stimulant son cerveau, établit de nouvelles connexions. Steve Jobs ne voit pas les choses de manière différente de nous. Il les perçoit différemment. En effet, il faut distinguer la simple vue de la perception, qui elle-même distingue l'innovateur de l'imitateur. La vue n'est que le processus par lequel les photons de lumière atteignent les cellules photoréceptives de la rétine puis se transmettent, sous forme d'impulsions nerveuses, aux différentes parties du cerveau. Comme le souligne Gregory Berns, "la perception est le processus, bien plus complexe, par lequel le cerveau interprète ces signaux". Des dizaines de personnes avaient vu l'interface graphique de Xerox, au PARC de Palo Alto. Mais Jobs l'a perçue de manière différente. Ce fut une révélation, un puissant éclair de créativité. Les révélations surviennent rarement dans un cadre familier, précise Gregory Berns. Cela s'illustre notamment dans l'anecdote de la plantation de pommiers. Le cerveau de Steve Jobs y a établi un lien entre deux mots que tout semble séparer : "pomme" et "ordinateur". Cette révélation se produit à des centaines de kilomètres de son lieu de "travail" habituel - en l'occurrence, le garage de ses parents !

Des sceptiques ont trouvé que, pour être prise au sérieux, l'entreprise aurait dû adopter un nom à consonance plus technique, plus officielle. De toute évidence, ils n'avaient pas la même perception des choses que Steve Jobs.

Sa démarche avait pour but d'adoucir l'image de l'ordinateur, de le rendre plus attrayant pour l'utilisateur lambda.

Qu'y a-t-il de plus simple et de plus accessible qu'une pomme ?

"Pour faire avancer la perception d'un grand pas, il ne suffit pas d'observer un objet et d'y réfléchir davantage que les autres, écrit Berns. Les grands progrès de la perception surviennent lorsqu'un système perceptif rencontre quelque chose qu'il ne sait pas interpréter. Ce manque de familiarité contraint le cerveau à rejeter ses catégories perceptives habituelles, pour en créer de nouvelles."

Pour "penser différemment", il faut percevoir les choses différemment, avec les yeux d'un pionnier. Gregory Berns et les autres scientifiques qui étudient l'innovation, la créativité et le comportement cérébral considèrent que pour cela il faut "bombarder le cerveau de nouvelles expériences".

Lorsque, à l'université, Steve Jobs apprend la calligraphie, cette discipline nouvelle stimule son esprit créatif. De même, méditer au milieu des pommiers est pour lui une expérience inédite, source d'inspiration. Et lorsqu'il visite l'Inde des années 1970, il découvre un monde radicalement différent de sa vie de Californien moyen. En s'entourant par la suite de musiciens, de peintres, de poètes et d'historiens, il se mettra en situation de vivre encore d'autres expériences, et de considérer des problèmes sous des angles nouveaux. Certaines de ses idées les plus novatrices résultent directement de cette quête de nouvelles expériences, dans des endroits jusque-là inconnus de lui ou au contact d'autres personnes.

La Volkswagen sans manivelle

Un foisonnement d'idées nouvelles s'obtient aussi en abordant une question selon une perspective inhabituelle. Pour lancer le processus créatif et considérer les problèmes des clients de manière différente, Steve Jobs aime à recourir aux analogies. [...] Comme dans l'exemple de la Volkswagen sans manivelle.

Pendant l'été 1981, IBM lance son premier micro-ordinateur. En novembre de la même année, Jobs peaufine le projet qui aboutira au Macintosh. Et ce qui est particulièrement important pour son équipe, son business plan indique en quoi le Macintosh se distinguera des produits concurrents, ceux d'IBM par exemple. Rédigé par Steve Jobs en personne, ce document est rarement cité dans les publications destinées au grand public. Pourtant, il offre un aperçu remarquable sur le fonctionnement d'un des esprits les plus créatifs de notre temps : "Depuis 1979, Apple a investi des millions de dollars et des milliers d'heures de travail pour développer une interface complète, qui éliminera la manivelle de l'ordinateur... Le Macintosh repose sur un principe très simple : pour qu'un micro-ordinateur personnel devienne un véritable produit de masse, il doit être fonctionnel, bon marché, facile et très agréable à utiliser. Dans l'évolution de l'ordinateur personnel, le Macintosh représente une avancée considérable. Cette Volkswagen sans manivelle, Apple la rend accessible à ceux pour qui la qualité n'est pas un vain mot."
Le "téléphone" du secteur informatique

Steve Jobs trouve une autre analogie, tout aussi pertinente, dans les travaux d'un autre brillant innovateur : Alexander Graham Bell, l'inventeur du téléphone. "Nous voulons faire un appareil qui soit comme le premier téléphone. Nous voulons fabriquer des produits de masse, dit-il. C'est ça, le Macintosh. Le premier téléphone du secteur informatique." En 1844, avant la naissance du téléphone, certains prédisaient qu'il y aurait un jour un appareil télégraphique sur chaque bureau américain. Selon Jobs, cela n'aurait jamais fonctionné, car la plupart des gens n'auraient jamais appris à s'en servir. Ils auraient pu apprendre, mais peu d'entre eux l'auraient voulu : les séries de tirets et de points dont se compose le morse les auraient découragés. Percevant une analogie entre l'invention de Bell et le Macintosh, Jobs met ses collaborateurs au défi de créer le "premier téléphone du secteur informatique", assez facile d'emploi pour être accessible à l'utilisateur moyen. L'analogie avec le téléphone inspire également à Jobs l'aspect du futur ordinateur. Comme l'écrit Jeffrey Young : "Il réfléchissait, il méditait sur l'appareil. Tout en examinant les diverses possibilités qui s'offraient à lui, il passait des heures à contempler des téléphones, sur des bureaux ou dans des appartements. Plus il les contemplait et plus une chose le frappait : souvent, ces téléphones étaient posés sur un annuaire. Il lui sembla qu'un ordinateur ne devait pas occuper plus de place sur un bureau." Young relate la suite des événements. Jobs arriva en réunion avec un annuaire téléphonique sous le bras. Le jetant sur la table, il décréta que le Macintosh ne devait pas occuper une surface plus grande. Autrement dit, le futur ordinateur devait être trois fois plus petit que tous les autres produits alors sur le marché. Trois fois plus petit. Son équipe de designers n'en revenait pas. Certains ne mâchèrent pas leurs mots pour exprimer leur scepticisme. [...] L'équipe eut donc l'idée de construire l'ordinateur non pas à l'horizontale, mais à la verticale.

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Bon Mac à Tous, Christian


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 Sujet du message : Re: IThink so IJobs
Message Publié : 02 Septembre 2011, 05:31 
Hors-ligne

Inscription : 03 Janvier 2002, 00:00
Message(s) : 596
Localisation : Le Puy en Velay (43)
Excellent article. Bonne "trouvaille" christian, bravo. ;)

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Traduit en français par Maël Soucaze.